Chambéry champion de France de rugby en Fédérale 2

Après la fête de dimanche soir où ils ont été sacrés champions de France Fédérale 2, à leur retour les rugbymen ont été honorés. Vendredi soir, les chambériens sont invités à les acclamer place de l'hôtel de ville

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'équipe de Chambéry s'est imposée ce dimanche (9 juin) en finale de Fédérale 2, contre Mauléon à Béziers. Pour s'offrir le titre de champion de cette division, elle a dû passer par l'épreuve des tirs au but. Au bout du temps réglementaire, le score était de 6-6.

Après les prolongations, il n'avait pas encore évolué. Les deux équipes se sont donc affrontées aux tirs au but. Sur les cinq premières tentatives, chacune en a réussi quatre. C'est donc à la mort subite que le match a trouvé son issue. Et Chambéry l'a emporté par sept tirs au but à six.

 

La fête au stade

 

 

 

De retour le soir même, les joueurs étaient fêtés au Mojito (sponsor du club) dans le carré Curial. Ils le seront à nouveau (joueurs, entraîneurs et dirigeants) ce vendredi 14 juin à la mairie, Bernadette Laclais les recevant pour leur rendre hommage, dans le salon d’honneur, au nom de l’ensemble du conseil municipal. A cette occasion, la municipalité invite tous les Chambériens qui le souhaitent à s'associer à ce moment et à venir place de l'Hôtel de Ville acclamer leur équipe, ce vendredi 14 juin à 18 heures.
Puis, en soirée, le club invite aussi les supporters à se joindre à la fête au Carré Curial

 

 

 

 

 

 

 

 … Et retour (en images) sur le jour de la montée en fédérale 1

Large vainqueur le dimanche précédent à Avignon (30-15) , le Soc pouvait aborder sereinement le dimanche 12 mai dernier le match retour des huitièmes de finale  de la fédéral 2 de rugby, dans un stade municipal de Chambéry plein a craquer. L’enjeu était la montée à l’étage supérieur. Mais encore fallait-il assurer le coup, ce qui ne fut pas si aisée que cela, même si le score de 30 à 19 fut  à nouveau sans appel. Au coup de sifflet final, c’était l’explosion tant dans les tribunes que sur le terrain ou joueurs, dirigeants, musiciens et danseuses du groupe oxygène qui n’étaient pas les moins ferventes des des supporters.

 

 

 

 

 

textes et photos Bruno Fournier

 

 

 

 

 

 

 

 

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