La promotion Jean Bulle de l'école de Saint-Cyr en SavoieLa promotion Jean Bulle de l'école de Saint-Cyr en Savoie La promotion Jean Bulle de l’école de Saint-Cyr en Savoie sur les traces de son parrain
Une journée à revivre sur RCF Savoie (102.3)
Avec les interviews du colonel Alain Didier à la tête du 7eme BCA dont le quartier à Bourg-Saint-Maurice porte le nom de Jean Bulle devenue aussi celui de la promotion de st Cyr qui exprime toute la symbolique de cette journée, un neveu du parrain, Bernard Dodane, qui, venu de son Doubs natal remémore son histoire ; un jeune Saint-cyrien, Nicolas Pons, natif de Savoie ; l’une des 8 élèves de la promotion venue de Bretagne, Elsa Noailles ; son supérieur, le supérieur, le lieutenant colonel Arnaud Mettet commentant à son tour le choix du commandant à titre posthume) Jean Bulle comme parrain. Et, pour conclure ce retour sur un évènement offrant une nouvelle page d’histoire quoi de mieux de repréciser avec un spécialiste des bataillons de montagne, le lieutenant colonel à la retraite Deleuze, le parcours de Jean Bulle, en rappelant tout d’abord le sens de bataille des Alpes dont il fut un héros avant de rejoindre la résistance. Et le tout accompagné du chant des saint-cyriens.
Evocation historique du commandant Jean Bulle Natif de Pontarlier dans le Doubs en 1913, il nourrit très tôt une véritable vocation pour le métier des armes malgré une santé fragile, suivant l’exemple de son père combattant des tranchées. Les camarades de Bulle diront de lui par la suite : « Nous avons été attirés tout de suite par ce grand garçon sérieux, au regard brillant d’intelligence, de foi ardente aussi bien religieuse que patriotique (...), il aimait la vie, mais déjà nous pressentions qu’il saurait se sacrifier, s’il le fallait, pour une cause juste et féconde. »
Le Saint-cyrien Entré en corniche au Prytanée National Militaire de La Flèche, il intègre l’École Spéciale
Sa vie de chef Sorti 26e de Saint-Cyr, il choisit de servir au 60e Régiment d’Infanterie, avant de prendre la tête, en septembre 1939, d’une section d’éclaireurs-skieurs (SES) au 70e Bataillon Alpin de Forteresse. Il contribuera grandement, par ses qualités sportives et humaines, à forger l’identité et la compétence de cette section d’élite (les SES sont les ancêtres des actuels
La résistance En 1943, Jean Bulle entre en résistance : il mène désormais avec sa famille une vie clandestine, caché la plupart du temps par les anciens membres de sa section d’éclaireurs-skieurs. Ses qualités d’organisateur font merveille lors de l’exécution de plusieurs coups de main et sabotages, et le placent à la tête du maquis du Beaufortain en tant que chef militaire. Il organise le parachutage du col des Saisies, armant ainsi son bataillon de 1200 maquisards.
Il parvient à éviter dans son district les répressions sanglantes de l’occupant : il ne concentre jamais tous ses hommes au même endroit, et mène des opérations à l’aide de petits groupes de résistants.
Cette clairvoyance a eu pour effet que ne se produise pas dans cette région des tragédies semblables à celle du Vercors ou des Glières.
Lors de la Libération, le bataillon Bulle finit par encercler Albertville encore aux mains
Le « bataillon Bulle » est devenu depuis le 7e Bataillon de chasseurs alpins et le capitaine
Textes et photos Bruno Fournier
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