herbert Von Caravane
Créé en 2006, Herbert Von Caravane c’est pour commencer une histoire de famille : Jeff le père
guitariste rythmique et Julien (Tritz) le fils, la fougue de la jeunesse au service de solo endiablé. Le
père, le fils et… le percussionniste Marc (Presotto), les rythmes orientaux dans la peau.
Clin d’oeil au célèbre chef d’orchestre Herbert Von Karajan, le nom du groupe dévoile sa propre
touche nomade. Le groupe s’imprègne de Django Reinhardt, Duke Ellington, Charlie Parket dont
il reprend quelques standards. Il joue aussi ses propres compos. : Valse, swing manouche et bossa
nova.
Souvent rejoint par Florent (Masson) en deuxième rythmique, le trio multiplie très vite les concerts et
reçoit un accueil chaleureux du public. Il se produit un peu partout en Savoie et région Rhône-Alpes
et compte une centaine de concerts à son palmarès dans des lieux divers et variés (festivals, pub,
restaurants, soirées privées...).
Julien Tritz (Guitare lead) : Leader du groupe Grenoblois «Les Tagines» pendant deux ans, il fait sa
première expérience de la scène. Il officie également avec son père accompagnant des chanteuses
dans des registres variés. Très vite rattrapé par ses racines manouches, il crée le trio avec son père en
2006.
Jeff (Guitare rythmique) : Ce guitariste de plus de 20 ans d’expérience en autodidacte vit aujourd’hui
de son art. Après des débuts au chapeau à 17 ans avec son frère dans le métro parisien, il s’installe en
Savoie et les concerts dans la région s’enchaînent avec les groupes «Sucré-Salé» et «Ré-création».
Il obtient ainsi ses premiers cachets. Par la suite, il rencontre Michel Rosseti (Autoprod) et forme
un groupe de funk «Blakilaba». Avec la chanteuse Céline Hamelin, il se tourne vers une formation
acoustique que son fils rejoint quelques mois plus tard.
Marc Presotto (Percussions) : De formation classique, il fait ses débuts de percussionniste au
conservatoire, devient professeur de percussions classique et enseigne à l’école de musique de Saint
Jean de Maurienne de 1989 à 1994. Il tourne alors dans toute l’Europe avec «Arkana Percussions»,
un collectif de percussionnistes et avec «L’ensemble de Cuivre des deux Savoies». C’est lors d’un
séjour au Maroc qu’il tombe amoureux du son de la Derbouka.